Les sapeurs au Levant

De insignes du génie
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Historique

Les troupes françaises sont au Levant (Syrie, Palestine, Jordanie, Liban) depuis 1920 et sont fidèles au régime de Vichy depuis la signature de l'armistice.

les forces armées au Levant se composent de l'armée du Levant complétée par du personnel recruté localement dénommées troupes spéciales du Levant.


les sapeurs sont présents autant dans l'armée du Levant que dans les troupes spéciales du Levant.

le travail des sapeurs mineurs se partage entre:

- la confection et l'entretien des baraquements et casernements

- la création et l'entretien des routes et des ponts

- la création, l'entretien et la mise en œuvre de transport VF en 0m60

- la destruction d'infrastructures à l'explosif

les sapeurs télégraphistes, pour leur part s'occupent de la mise en œuvre et de l'entretien des télécommunications filaires et radio.


L'armée du Levant comporte le 33ème bataillon du génie et le 43ème bataillon du génie.

Les troupes spéciales du Levant comportent de nombreuses compagnies dont l'existence est plus ou moins éphémère.

il y a ainsi:

- la Compagnie spéciale de sapeurs de chemins de fer

- Compagnie spéciale de sapeurs mineurs du Levant

- La Compagnie spéciale télégraphique

Ces troupes seront opposées aux troupes françaises de la 1ère DFL et donneront lieu à des combats fratricides.

En effet, les allemands et les italiens bénéficiaient des infrastructures portuaires et aéroportuaires de Syrie pour conduire leurs opérations en Irak, ce qui pousse les alliés à envahir le territoire.

Le 8 juin 1941, l’opération Exporter est déclenchée, opposant 20 000 britanniques et les forces françaises de la 1ère DFL au 40 000 militaires des forces françaises de Vichy.

Le 12 juillet 1941, le Général Dentz, gouverneur de la province du Levant, après accord des autorités de Vichy, demande un cessez-le-feu et autorise la négociation d’un armistice. Celui-ci est signé, à Saint-Jean-d’Acre avec les Britanniques.

À la fin de la campagne, les Français de Syrie ont la possibilité de se rallier à la cause alliée ou d’être rapatriés en France. 6 000 d’entre eux font le choix de s’enrôler dans les Forces françaises libres, tandis que la grande majorité préfère rejoindre la métropole.

Les unités


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